Plein de sympathies pour la situation de l'usager, mais la liberté de l'un s'arrête là où celle de l'autre commence. à mon avis il faut protéger la clientèle pédiatrique et de médecine qui est plus vulnérable que celle de longue durée. Pour ce qui est des lignes directrices, c'est difficile à appliquer, car à réévaluer à chaque admission et à chaque fois que la situation change sur l'unité...
Serait-ce plus facile à administrer sous forme de "permission" encadrée, lors d'activité spéciale par exemple? Avec bain, vêtements propres et hygiène des mains rigoureuse?
Vraiment pas simple cette cohabitation! Et surtout..aller chercher l'adhésion du personnel sur place. Ont-ils eux-même une solution à proposer?