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6 janvier 2004 à 11 h 37 min #2652AnonymeInvité
Bonjour,
Un comité a récemment été mis sur pieds pour faire la révision des lignes directrices pour la gestion du SARM dans les établissements de soins. Puisque Luce Chrétien et moi avons été mandatées pour y siéger au nom de l'association, j'aimerais obtenir une réponse à la question suivante:- en CHSLD, y a t-il du personnel qui surveille activement le SARM et qui possède une idée de l'incidence des porteurs de leur milieu?
La réponse à cette question permettra sans doute au comité d'avoir une vision plus "québécoise" de la problématique SARM en CHSDL.
N'hésitez pas à ajouter des commentaires personnels qui pourront aider au travail de révision des lignes directrices. J'en ferai une lecture sérieuse afin de transmettre l'essentiel aux personnes du groupe de travail.
Merci à l'avance
Edith Lévesque
CH Rivìère-du-Loup6 janvier 2004 à 15 h 37 min #8200AnonymeInvitéAu CLSC-CHSLD Haute-VIlle des Rivières nous ne faisons pas de dépistage systématique lors de l'admission des nouveaux résidents. Nous effectuons les prélèvements de suivi (selon les directives du MSSS) pour les cas connus porteurs qui nous sont référés par les CH. Nous n'avons pas non plus de programme de surveillance pour le SARM. Nous nous doutons bien que les cas connus sont la pointe de l'iceberg. Mais compte-tenu des ressources humaines et physiques disponibles nous estimons que l'application des pratiques de base est notre seule arme disponible et qu'il faille miser là-dessus. Notre établissement compte 683 lits répartis dans 5 résidences. Nous suivrons votre démarche avec le plus grand intérêt. Salutations. Sylvie Gilbert
6 janvier 2004 à 15 h 39 min #4442AnonymeInvitéAu CHSLD Le Triflufien à Trois-Rivières, il existe une surveillance active et un suivi de tous les usagers identifiés SARM +, mme Micheline Durocher (819-375-7713, poste 283) se fera un plaisir de répondre à des questions complémentaires
6 janvier 2004 à 16 h 05 min #4931AnonymeInvitéBonjour Édith,
Ici à l?Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke (IUGS), je surveille activement le SARM :
 Nous dépistons tous les clients qui arrivent de la courte durée (nez, anus et ouvertures).
 L?infirmière en prévention au CHUS m?informe de tous les clients porteurs ou infectés par un SARM transférés chez nous ou tous les nouveaux clients dépistés au CHUS qui ont transités par l?IUGS.
 Nous dépistons les cochambreurs des nouveaux porteurs.
 Je tiens des statistiques sur le nombre de nouveaux porteurs en provenance des établissements de courte durée et ceux acquis ici.En région, je suis la personne à qui on réfère les établissements, type milieu de vie, pour toutes questions concernant le SARM : CHSLD, résidences pour personnes âgées, etc.
Si tu as besoin de d?autres informations ça me fera plaisir de te donner plus d?informations.
Lucie Bellehumeur
conseillère clinique en prévention des infections
Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke
1036 rue Belvédère sud
Sherbrooke, Qc
J1H 4C4
tel: (819) 821 1170 ext 22727 janvier 2004 à 10 h 29 min #3415AnonymeInvitéIci au CHSLD Les Eskers il n'y a pas de personnel qui recherche activement les cas de SARM, cependant
losrqu'un cas est signalé un suivi est fait. En 2002 il y a eu un dépistage de 20% de la clientèle afin d'avoir une idée de l'incidence des cas.Guy Lemieux
8 janvier 2004 à 6 h 44 min #4034AnonymeInvitéici au Centre Santé Nicolet-Yamaska nous effectuons un suivi de tous les nouveaux clients qui ont transité par un autre centre ou qui sont reféfé
nous avons des liens privilegies avec CHRTR qui effectue les prélèvements avant les transferts orsque possible et le resultat positif figure en 1ere page du dossier antérieur
au plaisir9 janvier 2004 à 20 h 34 min #5547AnonymeInvitéNous disposons d'un programme de surveillance du SARM dans notre établissement de soins de longue durée qui compte 450 lits.
Les données de surveillance suivantes sont disponibles pour consultation sur demande : taux d'incidence, répartition des cas par groupe d'âge, par sexe, par type de site colonisé ou infecté, par type d'unité (unité de vie et unité de réadaptation fonctionnelle intensive).
Luc Pellerin
Réseau Santé Richelieu-Yamaska
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